mai 8, 2024

Qui sommes-nous ?

Contact :  Association pour la reconnaissance du vote blanc

6 avenue Anatole-France

94600 Choisy-le-Roi

France
07 81 41 66 14

vote-blanc@orange.fr

Adhérer

Aujourd’hui, au moment du dépouillement, un bulletin blanc est considéré comme nul. L’électeur qui a choisi de voter blanc disparaît des résultats. Il est assimilé à un abstentionniste.

L’Association pour la reconnaissance du vote blanc milite pour que les bulletins blancs soient intégrés dans la catégorie des suffrages exprimés. Le suffrage universel doit revenir à un principe qu’il n’aurait jamais dû abandonner : un homme = une voix.

Il ne s’agit pas de créer un parti blanc et d’inciter les électeurs à choisir ce type d ‘expression. Certains adhérents n’ont jamais voté blanc. Il faut que le vote blanc soit une réponse possible, à égalité avec d’autres candidats, si l’électeur la juge nécessaire.

L’Association est composée de simples citoyens, venus d’horizons politiques différents.

Quelques actions menées :

L’action essentielle de l’Association est de créer un argumentaire solide qui permet de montrer la spéciosité des contre-arguments des différents représentants de l’Etat.

·Publication de livres : Le vote blanc. Pour un suffrage vraiment universel,   Bulletin et A quoi bon aller voter aujourd’hui 

·Réalisation d’un sondage en 1998 financé par le Parti radical sur qui vote blanc et pourquoi.

· Pression auprès des partis ou hommes politiques se disant favorables au vote blanc pour qu’ils mènent leur démarche jusqu’au bout. 2003, le rapport de la proposition de loi du groupe UDF à l’Assemblée s’est très largement inspiré du livre cité plus haut. En 2012, le rapporteur de la proposition de loi du groupe UDI nous a auditionné.

·Mise en carte de la répartition du vote blanc lors des élections de 1992 à aujourd’hui.

·Prise de contact avec des mouvements à l’étranger défendant le vote blanc. Création d’un collectif européen.

·Echanges avec des universitaires. Voir le troisième livre.

·Sensibilisation de la presse : information, publication d’articles.

·Construction d’un argumentaire juridique au niveau national (Conseil constitutionnel, cour de cassation pour des élections professionnelles) et au niveau international (Convention européenne des droits de l’homme).